

Ces transformations, pourtant… c’est de la forme. Et c’est aussi tout un engagement. Alors mon camp n’est pas si clair.

Ouf.
Maintenant, je m’étais dit, j’ai le droit d’écrire le paysage (et de le photographier), car en fait j’écris mon regard et non le paysage en soi. J’ai le droit de déambuler et d’écrire cette déambulation sans me sentir tomber dans une stupide et béate contemplation. J’ai aussi le droit de publier sur un « blog déambulatoire » des photographies de paysage prises à l’automne et à l’hiver, car sur ces photos l’inscription d’un je plus fort que toutes les barres obliques est rendue à la fois visible et invisible. Voici donc en images toute cette théorie qui est pour moi une façon sensible et engagée de voir le monde et d’y vivre.














Je découvre avec bonheur l’excellent blogue de mon nouveau collègue. Sincèrement, c’est du bonbon. Et tes photos sont vraiment géniales ! Compte-moi parmi tes nouveaux lecteurs assidus…
J’adore le flou moi aussi. Tes photos sont belles.